Dans l’univers de Mongo, la moitié de l’humanité vit confinée sous terre à l’abri des microbes pathogènes, tandis que l’autre moitié continue de vivre en surface à l’air libre, exposée à ces microbes dont elle a fini par développer une immunité.
La crise du coronavirus est révélatrice des maux profonds de notre société, dont le plus criant est notre incapacité à accepter la réalité de la mort dans une vision positive où pour nous en protéger à tout prix, nous sommes prêts à cesser de vivre et à transformer notre existence en véritable enfer.
La conjonction de la pandémie avec L’Appel de Mongo inauguré il y a 25 ans rend son regard visionnaire troublant et percutant. Non seulement il a prédit notre réaction collective de peur des microbes, mais surtout, il nous révèle l’ensemble de nos crises en émergence en montrant la voie d’une issue libératrice, le rendant chaque jour un peu plus pertinent et clairvoyant.

♥♥♥♥ j’adore, je suis conquis.e | ♥♥♥ j’aime beaucoup, je suis touché.e et captivé.e | ♥♥ sa force l’emporte malgré ses faiblesses | ♥ ça se laisse lire mais sans plus | ♥ je n’aime pas / je décroche

Un premier test d’évaluation a porté sur le premier épisode dans le but de mesurer sa force d’accroche initiale. Le résultat a été plus que convainquant avec un lectorat très enthousiaste et transporté par le récit.

Un second test a ensuite porté sur le livre complet dans le but de mesurer sa réceptivité globale. Le succès a été encore bien plus fort, nous apportant la preuve que ses quatre volumes ne sont pas un obstacle à son adhésion mais sa plus grande force. Car son imprégnation longue et profonde transmet une intensité sans pareille en captivant le lectorat tout du long, avec pour effet de le marquer durablement.

Au final, nous obtenons un matériau critique très précieux de 100 pages pour le remaniement final du livre.